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La déforestation

La déforestation est un phénomène présent sur Terre depuis le Moyen Âge. On définit ce problème comme étant la régression des surfaces couvertes de forêt. Ainsi, divers facteurs peuvent expliquer la déforestation:

  • L’accroissement des terres agricoles (défrichage)
  • l’urbanisation (pavés, routes, usines, maisons)
  • Les facteurs naturels (glissements de terrain, tempêtes, incendies, maladies, champignons)
  • L’exploitation non durable des ressources

Bref, c’est surtout l’utilisation agricole des surfaces qui pèse beaucoup dans la balance. On a pu remarquer que dans les années 1990, 70% des zones défrichées ont servies à des fins agricoles. De plus, c’est principalement dans les zones tropicales que l’indice de déboisement est le plus élevé. C’est aussi dans ces régions que l’on retrouve une très importante biodiversité.  Cependant, il y a des facteurs auxquels nous n’y pouvons pratiquement rien. C’est le cas au Québec, avec les proliférations d’espèces indésirables ou dangereuses. Par exemple, la Tordeuse des bourgeons de l’épinette a provoqué en 20 ans (1938 à1958) la mort de 60% des sapins et 20% des épinettes.

Toutes ces causes sont donc prédisposées à engendrer plusieurs conséquences. Ces répercussions sont observables tant dans le sol, dans les milieux et sur la biodiversité. On remarque des phénomènes de :

  • ruissellements
  • d’hygrométrie

Et des conséquences sur les climats, notamment le réchauffement climatique.

Mais qu’est-ce que l’hygrométrie? C’est ce qui caractérise le niveau de l’humidité dans l’air. Dans notre cas, la coupe des forêts ne permette plus la « transpiration » de celles-ci ainsi, on devient dans un milieu plus sec. Il faut aussi noter que l’hygrométrie et étroitement lié à l’évapotranspiration.

Finalement, je propose d’appuyer plus fermement le Programme des Nations-Unies pour l’Environnement (PNUE), car elles ont mis en place une campagne mondiale de reforestation. En effet, cette campagne se nomme « Plantons pour la planète : la campagne pour un milliard d’arbres« . Grâce à sa sensibilisation, l’ONU a relevé son objectif de planter 7 milliards d’arbres avant 2009. Seulement, on estime que 80 000 km carré de forêt sont détruits chaque année.

Pour ma part, je compte réduire ma consommation de papier, dès lors une grande partie des arbres sont abattus pour l’industrie de pâte et papier. Pour ce faire, en raison de mon utilisation très fréquente de feuilles d’informations (projets scolaires), je vise à opter pour des feuilles brouillons (qui ont déjà été utilisées une fois). Ainsi, j’ai remarqué que je suis plus responsable dans mon usage.

 

Un ATOME c’est…

Pour moi, un atome c’est la plus petite particule existant sur Terre. Ils composent tout, d’une substance pure à un composé chimique. Chaque atome différent appartient à un élément différent. Puis si par hasard, trois atomes d’oxygène se lient chimiquement, ils créent une substance pure. Simplement parce qu’ils sont tous des atomes identiques, mais ils forment une molécule.

Bon, revenons à nos atomes. Chaque atome est classé d’une façon bien précise, et ce, dans un tableau périodique. Dans ce tableau, chaque colonne détermine une famille d’éléments. Ainsi, le potassium (K), est dans la famille des alcalins, puisqu’il se situe dans la première colonne (pour chacune des explications suivantes, je vais utiliser le potassium). De plus, il ne possède qu’un seul électron de valence, puisque le numéro de la colonne détermine ce nombre d’électrons. De même que la période (ligne) détermine le nombre de couches électroniques. Donc, le potassium détient 4 couches électroniques. Sinon, il est classé parmi les métaux, car on dit que les alcalins sont des métaux mous et très réactifs. Les électrons de valence sont sur la dernière (plus éloigné du noyau) couche électronique de l’atome. Ensuite, son numéro atomique est le 19, ainsi on retrouve 19 protons dans son noyau et 20 neutrons, puisque sa masse atomique s’élève à 39 (39-19=20). En continuant, on sait que tous les éléments du tableau sont neutres. Pour se faire, il faut qu’il y ait le même nombre d’électrons que de protons, alors dans ce cas-ci 19 électrons, dont un électron de valence (comme mentionné plus haut). En somme, les éléments sont classés de manière logique et pratique. Dans le sens, que l’on peut former et représenter facilement des molécules ioniques…

Pour commencer, je vais expliquer comment la science est appliquée dans la problématique des algues bleues.

Pour ce faire, je me suis basée sur une recherche effectuée l’été passé par l’Université Laval. En effet, des chercheurs ont ciblé le phosphore, puisqu’il est responsable de la prolifération rapide des plantes aquatiques. Ils ont donc réussi à neutraliser cet élément chimique en le précipitant vers le fond du lac, et ainsi pouvoir le recouvrir de sable. Dès lors, le phosphore n’est plus en mesure de revenir hanter la colonne d’eau. Les substances permettant cet exploit ne sont nul autre que les sels d’aluminium. Ceux-ci on la propriété de s’attacher aux particules de phosphore qui immédiatement coulera vers le bas avec eux. En somme, les chercheurs ont eu recours à la science moléculaire et chimique pour entre autres explorer:

  • Les répercussions environnementales
  • Les conséquences sur les êtres vivants
  • Les causes des algues bleues

Enfin, ce champ d’études demeure très efficace dans sa manière de contrer ce phénomène. Puisqu’en comprenant que le phosphore (présent dans différents produits) agis sur la prolifération du fait que son usage excessif engorge les bassins versants.

De plus, l’implication de la science dans ce dossier rejoint de nombreux marchés économiques: principalement le secteur immobilier riverain et les compagnies d’agents lessiviels. Sans oublier que cette discipline a permis de sauver la vie de plusieurs citoyens, car nous connaissons l’action de certaines cyanobactéries. Celles contenues dans les algues bleues peuvent s’attaquer au foie ou au système nerveux. En ajoutant que les toxines ne sont pas éliminées en faisant bouillir l’eau. Ainsi, ce domaine aide dans la sphère sociale de la santé. Sinon, du côté environnemental, on sait, grâce à des tests que : l’épandage agricole, la déforestation, l’érosion des rives et la présence de réseaux d’égouts unitaire sont à l’origine du problème.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Site internet: Recherche de l’Université Laval

http://pubstele.radio-canada.ca/regions/Quebec/2010/02/03/006-algues_tests.shtml

Comment fait-on de l’énergie hydraulique?

Premièrement, il faut transformer l’énergie cinétique de l’eau en mouvement en énergie mécanique (turbines), puis en énergie électrique par l’alternateur.

Donc, on doit bâtir des barrages hydroélectriques. Ceux-ci emmagasineront de l’eau qui ensuite passera dans des conduites dites forcées. Pour que l’eau puisse générer beaucoup d’énergie, il faut posséder un certain dénivelé. On dit que l’énergie extraite dépend du volume d’eau et de la hauteur de chute. Ainsi, celle-ci descendra à grande vitesse pour percuter les turbines, et alors les faire tourner. Les turbines entraînent avec elles un alternateur (ou rotor) qui provoque un courant électrique. Ce courant est acheminé par des lignes de haute tension jusqu’à une centrale qui atténuera l’empérage. Enfin, l’électricité peut être consommée par des villes.

Seulement, ce n’est pas tout le monde qui peut exploiter cette technique. D’abord, c’est très couteux, on a besoins d’un grand territoire pour les bassins et la centrale, puis qu’il nous faut penser, comment nous devrons acheminer l’énergie. En somme, on exploite l’énergie électrique, parce qu’elle n’émet pratiquement pas de gaz à effet de serre. On dit que c’est une énergie renouvelable du fait qu’elle ne subit pas de transformation chimique. Donc, l’eau peut poursuivre son cycle hydrologique.

Malheureusement, il y a un inconvénient au niveau environnemental en lien avec les bassins. En effet, le mercure émis par les activités industrielles qui s’est accumulé dans les sols est maintenant en suspension dans l’eau des réservoirs. Les bactéries le convertissent en méthylmercure, un composé toxique qui s’accumule dans les poissons et ensuite s’introduit dans la chaîne alimentaire où il finit par être absorbé par les êtres humains (volume p.209).

Finalement, contrairement à l’énergie fossile ou nucléaire, on peut dire que l’énergie électrique produite par des barrages hydroélectriques est assez verte et ingénieuse…

Le jaguar

Ce mammifère carnivore est réparti un peu partout à travers l’Amérique centrale et l’Amérique du Sud (Pérou). Il peut aussi bien vivre dans une forêt tropicale dense comme dans des milieux ouverts. Cependant, les lacs ou les rivières sont fortement associés aux jaguars. Il est à noter qu’ils ne sont pas seulement des prédateurs, mais également des surprédateurs. Ce qui signifie qu’ils se retrouvent au sommet de la chaîne alimentaire dès leur âge adulte atteint (pas avant). Ainsi, ce félin joue un rôle primordial dans la stabilisation des écosystèmes, en plus de la régulation des populations des espèces qu’ils chassent.

L’expansion de la population peut être freinée par un accroissement de la population du condor des Andes ou du faucon aplomado, puisque ceux-ci peuvent attaquer le jeune jaguar. Il s’agit donc d’un facteur biotique.

Circulation Océanique

Premièrement, la circulation océanique englobe tous les courants marins des océans. Alors pour commencer, la circulation de l’eau est due à la température et à la salinité. En effet, l’eau chaude est moins dense, ainsi elle tend à se retrouver à la surface. L’eau froide, plus dense, est donc en profondeur tout comme l’eau salée. Tout ça pour dire que ces eaux sont en mouvements (pour occuper la bonne profondeur) et cela forme la boucle thermohaline. Cette boucle qui parcourt tous les océans, est composée de courant chaud et de courant froid en plus d’être responsable de plusieurs déplacements de chaleur sur la planète. C’est ce qui explique que même si nous sommes plus proches de l’Équateur que la France, nous possédons un climat plus froid que celle-ci. De plus, cette boucle est régie, comme pour la plupart des circulations, par la température (thermo) et par la salinité de l’eau (haline). En somme, c’est ce qui permet un certain équilibre du climat.

Pour ceux qui en veulent plus: « La circulation thermohaline est la circulation permanente à grande échelle de l’eau des océans, engendrée par des écarts de température et de salinité des masses d’eau. La salinité et la température ont en effet un impact sur la densité de l’eau de mer. Les eaux refroidies et salées plongent au niveau des hautes latitudes (Norvège, Groenland, etc.) et descendent vers le sud, à des profondeurs comprises entre 1 et 3 km. Elles sont alors réchauffées sous les Tropiques, et remontent à la surface, où elles se refroidissent à nouveau, […]. On estime qu’une molécule d’eau fait le circuit entier en environ 1 000 ans. La circulation thermohaline a un impact encore mal estimé aujourd’hui sur le climat.»(wikipédia, boucle thermohaline).